Bon. Je crois que je peux vivre avec une seule paire de boots (OK, 2, parce-que les Pistol quand même), mais les Nena Fiorentini+Baker, y’a pas, je ne PEUX PAS m’en passer.
Les motardes aux proportions absolument parfaites sur moi, la bonne hauteur de talon, la bonne hauteur de tige. Il faut que je mesure tout pour m’en faire un étalon (jurisprudence Balibulle), c’est ma paire à moi.
Je ne peux pas m’en passer disai-je.
La preuve. Ma première paire doit aller se faire un petit ravalement chez le cordonnier (ça y est, j’ai bouffé toute la gomme du talon) depuis des semaines, mais je n’arrive pas à m’en séparer ne serait-ce que 15 jours (c’est le délai les amis si vous voulez UN BON). Du coup ? Et bien du coup j’ai bissé. Et pas dans une autre couleur, ou en daim ou que sais-je. Non, les mêmes, des fois qu’en plus un jour ils ne les fassent plus. Lire la suite